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NOIRES DE PAU

29 avril 2012

Sur la grille...

Projet Plein Pau 2012 copie(1)

10 auteurs au départ,
11 nouvelles à l’arrivée !

  • Le réveil du Spitfire (Sébastien Sarraude)
  • Deux brunes pour une blonde (Fabienne Rivayran)
  • Effractions (Anne-Céline Dartevel)
  • L’oncle (Régine Bernot)
  • La P…Respectueuse (Corine Humeau)
  • Le Pont Oscar (Christophe Leschuitta)
  • Photo finish (Ninou Dubois)
  • Le Panache (Yannick & Samuel Boutet)
  • Bis repetita placent (Jean- Marc Croquin)
  • A petites causes, grands effets (Frédérique Panassac)
  • Eternelle Pau..stérité (Sébastien Sarraude)

Retrouvez nos auteurs au Grand Prix de Pau

  kiosque du parc Beaumont

 5 et 6 mai

12 et 13 mai

 

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25 avril 2012

Parution imminente!

J-10!

Projet Plein Pau 2012 copie(1)En 2012, « les Noires remettent la gomme ! » sur le Grand Prix de Pau. De là à dire que ça va dégommer sec, il n’y a qu’un tour de roue !

11 photos pour 11 nouvelles…

Nos auteurs ont repris le départ, munis de photographies  prises dans le vif de la course.

Ils ont laissé courir leur imagination sur le circuit, carburant à l’encre noire de la fiction.

11 photos pour 11 nouvelles noires distillant à souhait, comme autant de gouttes de venin, du suspens, du  drame, du sang, des larmes et de l’humour…noir !

Un préfacier dans la course

Pour lui, le Grand Prix n’a aucun secret. Il connaît le circuit de Pau sur le bout du volant et poursuit une brillante carrière internationale :

Mike Parisy signe la préface de notre recueil!

Mike P photo la républisuephoto la République 23/04


 Ce projet a pu aboutir grâce au soutien renouvelé de :


20 avril 2012

Lecture en cours...

chouette
Notre concours de nouvelles 2012 est clos depuis le 15 mars.

Tous les textes reçus ont été distribués aux membres des jurys

qui sont en phase de lecture.kangouA chacun de s'organiser suivant ses disponibilités...

 A chacun son rythme...dragon

 A chacun son style...papy lisant

 

Mais au final, tous les textes seront lus

et le choix sera fait...

RDV à la mi-juin

pour connaitre la pré-sélection dans chaque catégorie.

Et rassurez-vous, d'ici-là, vos textes sont ...

entre de bonnes mains!marilyn

5 avril 2012

Les Noires en piste!

En hiver, les "Noires de Pau" roulent à l'encre... noire.

En hiver, les "Noires de Pau" font un tour de chauffe...histoire de rester en piste!

Et dès l'arrivée du printemps, les "Noires de Pau" s'activent autour de leur nouveau projet d'écriture.

Derniers réglages en vue, 11 textes sur la grille de départ...

aper_u_affiche

J-30, le compte à rebours est lancé!

2 avril 2012

Les Noires de Pau à Cultura

bandeau_crime_ici

Avis aux amateurs de polar!

la librairie Cultura (Quartier libre) organise le mois du polar

du 28 mars au 21 avril 2012.

Retrouvez une sélection de nos ouvrages
sur le pôle de présentation "polar".

RDV les samedis 7, 14 et 21 avril

de 15h à 18h

pour rencontrer nos auteurs et faire dédicacer nos ouvrages.

 

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21 mars 2012

Le voyage des CM2 de Serres-Castet

fus_e

Début 2012, Les Noires de Pau ont accompagné le projet d'écriture de la classe de CM2 de mme Dufourcq, à l'école de Serres Castet. Après avoir lu notre recueil de nouvelles "Sushi Party", les enfants ont travaillé par petits groupes à l'écriture de nouvelles. Ces rencontres furent l'occasion d'échanges fructueux et de fous rires mémorables!

Voici le récit de ce voyage

par notre envoyée spéciale Lussi Péreira Da costa

Madame Dufourcq avait eu une drôle d’idée cette année-là : mettre ses élèves dans une fusée et les envoyer … sur la lune. Ce qui est une façon gentille de dire qu’elle avait parfois du mal à obtenir que tous travaillent en même temps et en silence.
Avant, elle les aurait envoyés…. paître mais avec les nouveaux voyages pédagogiques interstellaires, elle pouvait envisager de les envoyer bien plus loin.

Elle avait donc fait appel à l’équipe des Noirauds*. Ils étaient réputés sympathiques bien qu’un peu âgés et surtout, comme ils écrivaient, Madame Dufourcq espérait que l’envie d’écrire s’emparerait des élèves.

Ils étaient arrivés par petits paquets et Madame Dufourcq était rapidement passée du rang de professeur des écoles à celui de Capitaine de voyage vers un monde nouveau, l’écriture.

Tout de suite, les élèves formèrent deux camps : ceux qui étaient convaincus que c’était une excellente idée (les imaginatifs, les très obéissants, les dormeurs) et les autres, ceux qui trouvaient qu’il s’agissait d’une de ces idées loufoques, inutile voire dangereuse. En un mot, les récalcitrants, les mauvais en orthographe, les indisciplinés, les imagination zéro…

Dans le premier groupe, qu’on ne s’y trompe pas, il y avait à la fois des plumes rapides, trop souvent prompts à noircir du papier avec des idées qui sortaient de leur cerveau à la vitesse de la lumière, mais qui, parfois, ne supportaient aucune remarque, aucun trait de stylo, aucune rature : ceux qui se pensaient parfaits.

Il y avait aussi des plagiaires, ceux qui couchaient sur le papier en les mélangeant savamment, des choses vues ici ou là : refaire ce qu’on a vu, est toujours plus facile, plus rassurant.

Les fanas d’ordinateurs, eux, se dirent qu’ils arriveraient bien à bidouiller la fusée d’écriture pour que le voyage capote. Une puce électronique enlevée par ici, des poux glissés habilement dans la chevelure rouge de la maîtresse par là, tout serait bon.  Ils espéraient les « flûte, le moteur ne répond pas », les « Serres-Castet, nous avons un problème ! » et enfin le « cela ne fait rien ! » libérateur qui les renverrait à des exercices plus classiques.

Le second groupe renâcla et se scinda encore en autant de sous-groupes que d’élèves. Il y eut le comique de bord qui pensait qu’une fois dans la fusée, s’il amenait du « rien ! », du « je n’y arrive pas ! » il pourrait se contenter d’écrire deux minutes par jour. Il y eut aussi celui qui trouvait qu’aller chercher si loin (« à l’intérieur de soi » avait dit un Noiraud !) des choses que l’on avait vues au Maroc était stupide. Il en revenait du Maroc et cela n’avait pas été si difficile d’y aller.

Et pourquoi ne pas s’attarder sur celui-ci qui ne rêvait que de courses automobiles avec sa dulcinée et ne comptait pas mettre un seul bout de pied dans le vaisseau spatial !

Il y eut celle qui rêvait de vampires et qui se disait que les Martiens ne seraient pas exsangues mais verts : comment allait-elle y trouver l’amour ?

Enfin, il y eut tous ceux qui devaient parler de choses qu’ils n’avaient jamais expérimentées. Cela allait du journal intime, à l’ordinateur espagnol (alors que tous savent qu’ils sont chinois ou coréens !) en passant par divers animaux à poils, animaux marins et tutti quanti.

Petit à petit, au cours du voyage, les élèves se mirent à trouver que l’important n’était pas tant l’endroit où ils devaient atterrir que l’endroit d’où ils étaient partis et surtout le chemin qu’ils parcouraient.
Ils découvrirent qu’imaginer être une Playstation  était horrible et ne regardèrent plus jamais leurs jeux de la même manière. Ils remarquèrent que faire lire leur travail aux autres élèves et aux Noirauds devenait chaque jour plus facile. Ils comprirent petit à petit qu’écrire était difficile mais possible.
Bien sur, certains parvenaient à faire vivre facilement leur histoire, d’autres peinaient mais tous finirent par vaincre la page blanche. Tous racontèrent un peu d’eux-mêmes en quelques lignes ou en plusieurs paragraphes. La quantité n’avait pas d’importance, nous l’avons dit : seul compte le chemin !

Malheureusement celui qui était chargé de mettre de l’essence dans la fusée, avait oublié d’aller en acheter au supermarché du coin. La fusée d’écriture ne put partir. Pourtant, chacun se souviendra longtemps de ce drôle de voyage !

 enfantsLes petits voyageurs!


Les Noirauds présents dans la fusée :
Lussi Péreira Da costa, Ninou Dubois, Claude et Jean Claude Doléans, Jean Paul Basly.

 

16 mars 2012

Une heure à tuer!

Axel Canaud, lauréat de notre concours de nouvelle en 2010, publie son premier recueil de nouvelles aux éditions du Petit Pavé. Du noir, rien que du noir...

http://www.petitpave.fr/petit-pave-une-heure-a-tuer-autres-388.html

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26 février 2012

Les Noires de Pau en 2012

rubon33

SALONS

  • Journées du livre à Oloron "Au tour du Noir" 9 et 10 juin 2012  c'est fait!
  • Un Aller Retour dans le Noir 6 et 7 octobre 2012
  • Journées du livre d'Orthez 13 et 14 octobre 2012
  • Frissons à Bordères 20 et 21 octobre 2012
  • "Pau fête le Livre" 24 et 25 novembre 2012

 PUBLICATIONS

  • Mai 2012 :  "Les Noires remettent la gomme" collection Nouvelles Noires
  • Octobre 2012 :Recueils de nouvelles du concours 2012, recueil de nouvelles collection jeunesse
21 février 2012

L'homme inquiet

Lu par Corine Humeau

9782757825099

Editions points policier

Henning Mankell, partageant son temps entre la Suède où il est né et le Mozambique, sa terre d’adoption, est un auteur prolixe. Comme pour ses destinations, sa production littéraire est variée puisqu’il explore aussi bien le genre policier d’espionnage « classique » que le roman social ou psychologique avec « Les chaussures italiennes » par exemple.

Paru en 2009, « L’homme inquiet » s’inscrit dans sa veine policière avec un personnage phare, le commissaire Kurt Wallander (et alter ego de l’auteur).
Le maillage du roman se resserre rapidement autour du commissaire puisque sa propre famille-les beaux-parents de sa fille unique Linda plus précisément- se trouve impliquée dans une affaire d’espionnage.
Kurt doit  démêler un écheveau inextricable où les fantômes des espions ayant sévi pendant la guerre froide semblent renaître.

Parallèlement à cette enquête, qui s’étire sur plusieurs mois et pendant ses propres vacances, Kurt est confronté à la déchéance physique qui le ronge. La vieillesse le talonne, lui apparaît sous les traits d’une ex amante en phase terminale d'une grave maladie qui veut lui faire ses adieux, et de son ex femme alcoolique. Lui-même en ressent les atteintes et son taux de glycémie est un sujet de préoccupation constant.

Comme tout le roman, l’issue laisse planer des doutes, une inquiétude. De nombreuses questions ne seront pas élucidées mais peut-on lever toutes les interrogations ? Finalement, cet homme inquiet que le personnage recherche, n’est-ce pas lui-même tout simplement et chacun d’entre nous face au temps qui poursuit son cours, inexorablement ?


20 février 2012

Jean Marc Croquin dédicace

Avis aux Parisiens, Jean Marc Croquin sera en dédicace le 10 mars à partir de 15 heures aux “Lettres du temps”, 19 rue Campo Formio, 75013 Paris.

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